méli-démo

Par une belle journée de printemps ou le ciel était d'un bleu éclatant sans aucun nuage on n'y apercevais juste un avion qui survoler la zone. Lilou (chercher pas c'est toujours le nom de mon perso principale) décida d'aller ce balader, elle monta sur son cheval, un bel étalon noir répondant au nom de Tempête. Après avoir parcouru quelques kilomètres elle fit une halte pour cueillir un bouquet d'orchidées. Elle reprit sa chevauché et arriva chez son ami d'enfance Thierry un chat noir dormait sur le palier de la porte d'entrée. Thierry vient ouvrir la porte une mèche de ses cheveux bruns masqué son oeil gauche.
"Surprise" s'écria Lilou en brandissant son bouquet, Thierry un peu surpris la laissa entrer, toujours aussi émotive celle la.
Lilou observer un peu le décors un grand salon mais avec cette air toujours si rustique sans doute la touche personnel de Thierry. Des bougies dans tout les coins, un livre sur la table ça n'avait rien d'étonnant il passait ça vie à lire, il avait même ça propre bibliothèque tellement il en avait. Lilou attarda son regard sur la couverture " les royaumes celtes" il avait vraiment des goûts étranges...

-C'est pas vrai ta toujours pas fait le ménage c'est une vrai cabane cette baraque.
-Rho, c'est bon tu vas pas en faire tout un plat que même, laisse moi le temps de ranger un peu et tu verras.
-Pfff, tu parle ça fait des semaines que tu fou rien.
Thierry ne répondit rien et mit les fleurs dans un vase :
- Tu veux quelque chose à boire ?
-Hum, pourquoi pas ce que tu veux mais avec beaucoup de glaçons, il fait une de ces chaleur aujourd'hui.
-Comme tu voudras, je...
-purée fais un peu attention !
-ho zut j'ai tout renversé dsl Lilou, je t'en sert un autre
- mais j'espère bien -_- tu es bien maladroit, mon pantalon est tout mouiller, et ne t'avise pas de le refaire tomber
- bha ça va, l'essentiel c'est que tu n'est rien.
-moauis -_-
-tu veux qu'on aille pêcher au lac ?
-pourquoi pas, on y va comment ?
-j'ai une barque héhé -_^
Bon, ben on y va ? Tien c'est quoi cette marionnette ?
-Ho, pas grand chose en fait c'est ma cousine qui me la envoyer il parait que c'est la mode en ce moment à Londre
-ha bon, elle est mignonne, tu as vu ce trait sur son poignet ça donne l'illusion qu'elle porte un bracelet rose.
-oui, elle est faite en cire comme dans les temps passé, mais tu c'est elle n'est pas si neuve, je crois qu'elle était à ma tante il y a quelque années, si tu regarde bien tu verras quelle à un orteil cassé.
Le calme ce fit on entendit alors plus que le tic-tac de l'horloge qui indiquer 14H20
-bon on y va ? s'impatienta Thierry
-vi, ça va, tu es bien presser tout ta coup
Une fois sortis il enleve la bâche qui recouvrait la barque attraperent les cannes à pêche et tout ce qui va avec et commencerent à s'éloigner du rivage.
-Hum, c'est dommage qu'il y est autant de bâtons et de brindilles dans ce lac il est beau pourtant.
-hum, de toute façon bientôt il ne sera plus à nous
-hein ? Comment ça ?
-ben vi, l'immobilier n'a pas arrêter de grimper et donc il est logique qu'il cherche de plus en plus de terrain pour construire alors il on racheter le terrain au alentour à mon père ainsi que le lac.
-ha bon mais tu adore ce lac comment avez vous puent le vendre ?
-c'est pas vraiment qu'on est voulu mais mon père à des dettes
et on nous a menacer de faire appel aux huissier alors il à accepter de vendre le terrain derrière la maison...

-hé regarde je crois que j'ai un poisson, hi ! Aide moi qu'est ce que je fais ?
Et ainsi continua la journée jusqu'à la fin du jour sous les rires de nos deux amis.

Par un beau soir en lisant un livre devant une bougie, j'ai remarqué que mon chat me rapporta une belle et magnifique orchidée. si, si c'est une histoire vrai le cheval de la voisine qui était en train de manger des brindilles vous le confirmera. Je remarquît qu'un avion passait au même moment dans le ciel. C'est alors que j'ai enlevé mon pantalon, pris mon baton et commencé caresser les cheveux de ma femme bien-aimé. Puis, elle c'est mis à lèchouiller mon gros orteil. Comme j'étais trop occupé avec ma femme, je n'ai pas vue ma plus vieille fille qui jouait avec ses marionnette en mangeans en glaçon qui nous regardais par la fenêtre de la cabane dans le fond du royaume.

Quand je me suis aperçu qu'elle me regardait, j'ai dit "zut" et je me suis caché sous la couverture qui n'est plus à la mode, mais nous réchauffe, c'est l'essentiel. J'ai regardé l'heure sur l'horloge et vue qu'il était très tard dans la nuit (logique puisque je m'était endormi dans la barque et dûe faire quelques kilomètres durant la nuit).

Cela m'as pris une semaine avant de revenir à la maison, car je m'étais perdu dans la purée de pomme de terre que le promoteur immobilier avant fait en collaboration avec le huissier (qui me cherchait, car j'ai un bracelet GPS).

Ceci dit, je n'ai pas eu d'illusion de cela, car le passé et passé et je dormais.

hum, ton histoire et particulière et interescante mais je trouve que il y a des incohérences.

enfin rien n'est parfait je suis sur que la mienne à aussi des défauts lol^^

après 15 minutes de pianotage sur le clavier je l'ai fini :

mesdames et messieurs bonsoir !
je vais vous livrer l'histoire trépidante et effrayante de ZUT la BOUGIE
zut était en fait dans une vie antérieure, une MARIONETTE qui avait une
tête de CHEVAL, corps de CHAT et le plus bizarre de tout ceci, il portait un
PANTALON en BRINDILLES et BATONS et avait des yeux en forme d'HORLOGES ...
Bizarre n'est ce pas
De SEMAINE en semaines cette pauvre bougie de transformait chaque
jour , tantôt en BARQUE chinoise ou vénicienne, tantôt
en CABANE, tantôt en AVION...Parfois même en ORCHIDEE.
même une fois en GLACON enrobé de PUREE de fruit.
je sais très très bizarre... o_O
Peut être était-ce une ILLUSION mais un jour
il resta en bougie mais des CHEVEUX lui poussèrent, et
des ORTEILS lui appururent, il avait un ventre était fait
en COUVERTURE verte très moche , ses bras étaient couverts
de BRACELETS...
C'est effrayant n'est-ce pas ? oui je trouve aussi...
Dans le PASSE, quand il était jeune, pour lui l'ESSENTIEL
était de regarder le CIEL, lire des LIVRES, faire des jeux de LOGIQUE,
oh j'allais oublier, je ne vous ai pas raconté le magnifique rêve de sa vie...
Il s'imaginait agent IMMOBILIER ,euh non excusez mon erreur,
il s'imaginait HUISSIER de justice, huissier humain ,
vous imaginez ?!?!? humain , HUMAIN !! ce n'est pas n'importe
quoi quand même !!!
Dans son beau ROYAUME à la MODE empli d'humains, il vivait dans le bonheur
avec sa femme et ses enfants, il parraissait heureux,
faisait des balades a CHEVAL qui duraient des heures et des heures,
parcourait des KILOMETRES et des kilometres, il était heureux,
simplement heureux.
Mais malheureusement à chaque matin , il se reveillait dans son lit,
dans une forme differente a chaque fois..
le pauvre restait dans sa vie triste et monotone...


voilà qu'en pensez vous ?

whaou, je pense que tu as une sacré imagination et que c'est plutôt un atout quand on veut écrire^^.

C'est nul.
Mais je vais quand meme preparer un truc lol

c'est nul ... dtoute façon ya rien qui te plait a toi xD

Exactement :3

Cette histoire se passe, non dans un livre, mais à une époque pas tellement reculée, je dirais presque récente tant elle est proche, même mon horloge l’a constaté. Celle-ci se déroule dans un ranch à des milliers de kilomètres de toute civilisation.
Dans ce royaume vit un fermier et sa famille ainsi qu’un cheval et un chat appelé brindille enfin c’est ce qu’il est marqué sur son bracelet. Tout ce petit monde vit sous un ciel clément si ce n’est un avion qui les survole de temps à autre, mais depuis le mois passé et la venue d’un huissier vêtu d’un pantalon à la dernière mode et d’une coupe de cheveux stricte, le calme s’est transformé en tempête à en pulvériser une barque. Et oui tout se petit monde devait se préparer à la lueur de bougies a quitter leur cabane en emmenant tout leurs biens essentiels, dont une orchidée très rare ainsi que leurs mobiliers sous des couvertures afin que ceux-ci ne terminent en purée dans le déménagement. Le fermier pris son bâton de pèlerin accompagné de ses fidèles animaux, parcouraient les agences spécialisées en immobilier afin de retrouver un nouveau petit chez soi !! Mais toutes telles des marionnettes avaient le même discours « Zut enfin, les animaux sont interdits ici !!! » leur quête n’était pas prête d’être finie et la venue de l’hiver allait transformer leurs orteils en glaçons si ils ne trouvaient où se loger. C’est histoire est d’une telle logique mais n’était ce pas plutôt une illusion une suite est ainsi possible vont ils trouver à se loger. la suite au prochain meli démo

LOL tu nous fais une serie

ah ouais c pa mal^^

pas mal ;) bises

L'histoire qui va suivre se déroule dans un passé lointain, au royaume des Doudingues. La princesse Christine (fille du roi des doudingues) était une radieuse petite enfant de huit ans (ce qui explique le « passé lointain »…). À chacun de ses anniversaires la petite Christine demandait un cadeau plus gros : à trois ans c'était une sucette, à quatre ans une poupée (en soie), et ainsi elle demanda…. Un chat, un bracelet en or, un cheval blanc (pour aller chez des copines), un avion (pour s'y rendre encore plus vite). Elle allait bientôt avoir neuf ans et elle voulait : « un prince charmant »…..

Ses parents étaient très embêtés, car aucun prince, même pour tout l'or du royaume, ne voulait d'une fillette si capricieuse (et puis surtout à neuf ans, elle ne faudrait sûrement pas jouer à « zizi panpan » avant à un moment) …..

La reine qui connaissait Merlin l'enchanteur, décida de lui rendre visite avec Christine dans l'espoir de trouver une solution. Merlin habitait une petite île au milieu de la mer Dalor, en face du port de Refuge Croco. Il n'y avait des trains que les dimanches et la reine et sa fille durent attendre la fin de la semaine. Ainsi elles arrivèrent après un voyage éreintant de 1500 km au port Refuge Croco (lieu hautement touristique, où étaient regroupés la flotte royale, c'est-à-dire une barque qui servait au roi pour la pêche….). Christine et sa mère embarquèrent et ramèrent jusqu'à l'île de Merlin.

La reine : « Merlin, mon vieux complice... »
Merlin : « mais c'est dégoûtant ! » (Désolé Chris, pas pu m'empêcher)
la reine : « mais non, mon vieil ami si tu préfères,...... Et puis je suis plus toute jeune... »

Pendant que Merlin retourne dans sa cabane chercher des glaçons pour l'apéro, la reine le suit pour lui expliquer la raison de leur venue. Christine qui n'aimait pas rester seule, arracha de terre un bâton qui servait de tuteur aux tomates et commença à massacrer les orchidées du magicien, s'imaginant être une aventurière combattant les monstres sauvages.

Pendant ce temps à l'intérieur,
Merlin : « par la barbe du grand Bouzouk, en voilà un cadeau bien étrange. Laisse-moi consulter mes livres... ... Pour qu'un prince s'intéresse à une fillette de neuf ans, il faudra la relooker de haut en bas, des cheveux aux orteils. Comme c'est indiqué sur la couverture de ce numéro spécial de « Pin-up De L'Été »... euh... C'est un cadeau, je n'achète pas... Ce genre de magazine. Mais il ne suffira pas de séduire un prince, il faudra aussi neutraliser sa zigounette... (Christine a beau être une cochonne, neuf ans c'est quand même trop jeune). De la purée au bromure ! Voilà qui devrait agir. Et c'est moins radical que de cacher des ciseaux dans le pantalon du prince.
L'horloge magique de Merlin sonna 27 coups et demi, signifiant que si elle se couvrait et qu'il allait bientôt pleuvoir. Lorsqu'ils sortirent pour demander à Christine de venir s'abriter, l'enchanteur fit un bond si grand, voyant la fillette tenant son tuteur à tomates au milieu d'une bouillasse multicolore de fleurs, qu'il faillit en perdre à son pantalon.
Christine : «Zut, je vais encore me faire punir alors que je viens d'écrabouiller l'armée des monstres... »
Merlin : « en toute logique, tu devrais recevoir une énorme fessée. Mais comme je suis magicien et que j'ai terminé le dernier Harry Potter, je peux tout arranger...Reparrro... Et voilà l'armée des monstres est de nouveau opérationnelle. »

Deux sorciers apparurent alors comme par magie (s'en était d'ailleurs) est le plus petit des deux pris la parole : « Maître Merlin, nous représentons le ministère magique et vous venez d'enfreindre l'article 228 -- 1212 --FG 24 du code numéro 13 des lois magiques concernant la purée d'orchidées. Je vous présente maître Echérveu, l'huissier qui a été mandaté pour saisir vos biens immobiliers. »
Merlin : « non d'un pétard hermaphrodite, ce n'est pas deux marionnettes du ministère qui vont m'enlever ma cabane, je l'ai construite de mes mains brindilles après brindilles. ALAKAZAM ! »
Les deux sorciers du ministère disparurent dans une fumée verte.
Merlin : « je leur est lancé un sort qui les a renvoyés chez eux. Je ne pense pas qu'ils reviennent m'embêter avant un moment. »
La reine et Christine prirent congé de Merlin et retournèrent au château avec les précieux conseils du magicien.

Il s'ensuivit une séance shopping dans les magasins de mode pour petites lolitas, une tournée chez les plus grands coiffeurs du royaume, et une cure complète chez l'esthéticienne royale. Christine était complètement relookée, et paraissait maintenant avoir 16 ans (grâce aux oranges qu'elle avait dissimulées dans son soutien-gorge). Elle attirait ainsi l'attention de tous les jeunes princes qu'elle croisait. Sa mère apprit à Christine à faire la purée au bromure (plutôt le bromure à la purée, vu les quantités du mélange). Ses parents choisirent le plus beau prince du royaume et l'invitèrent à la fête d'anniversaire de Christine. Ainsi lorsqu'elle souffla ses bougies elle avait son prince (emballé dans une grande boîte verte et jaune, avec des trous pour respirer.

Ils vécurent heureux, et n'eurent des enfants que lorsque Christine enleva le bromure des plats qu'elle donnait au prince.(pauvre prince).

J’espère que vous avez pris autant de plaisir à lire ce texte, que moi à l’ecrire.

Debout sur le perron, habillée de ma plus belle robe de soirée, je le vis arriver dans une magnifique caleche tirée par un superbe cheval couleur noir de jais.
J'entendis l'horloge de l'eglise du village , au loin, sonner l'angelus du soir.
Voilà des semaines, des mois que j'attendais ce moment magique, digne d'un livre de conte de fées mais cette fois ci c'était moi la princesse du royaume.
Le vent froid me transformait en glaçon mais cela m'était égal, le passé, le futur n'existait plus, je profiterai de ce moment présent.
Les battements de mon cœur se mirent à accélérer lorsque je le vis descendre de la calèche t s'approchait de moi.
C'était un homme vraiment sexy, j'en avais de la chance!!! Il portait ce pantalon a la mode qui lui allait si bien. Je rougit par rapport a ma pensée. Jamais en le croisant dans la rue on ne pouvait deviner qu'il faisait un métier si ennuyant que huissier et gérer les affaires immobilières de son père.

Tel un gentleman, il me fit un baise main et m'offrit un ensemble d'orchidée. il m'en mit une en bracelet et glissa l'autre dans mes cheveux. Sa main s'attarda sur ma joue en une légère caresse.
Il me présenta son bras, m'amena vers la calèche.J'entendis derrière moi le chat de la maison miauler.
Tel un prince charmant il me fit monter. Mon apollon donna un ordre au cocher et nous partîmes. Quelques kilomètres plus tard,nous arrivâmes au bord d'un lac, une barque nous attendait. Une fois assis a l'intérieur, je me mis a observer le ciel, quelques étoiles brillaient déci-delà.
La barque s'approchait de la berge, je distinguais la silhouette d'une cabane. Il me pris la main, me fit descendre et telle une marionnette je me laissais guider.

Nous rentrâmes dans la cabane. Au sol était étendu une couverture, au quatre coins de la pièce des bougies avaient été allumés, ainsi que des batons d'encens.
Mon chevalier servant m'allongea sur la couverture et me banda les yeux. Il me retira mes souliers, remonta ma robe jusqu'a mi-cuisse. Il saisit une brindille qui trainer a coté de lui et la promena du haut de ma tete jusqu'a mes orteils. J'émis un grand soupir et pensa "Enfin! le moment arrive!"
Je le sentis approcher de moi, je me mis à trembler de peur mais une tellement grande envie de connaitre ce grand vertige dont tout le monde parlait tant.
Apres quelques caresses curieuses, il prit enfin possession de moi. Tres concentrée j'attendais que le plaisir naisse...quand soudain je me rappelais que je n'avais pas nourri le chat...cela expliquer son miaulement à mon depart...puis je pensais à cette foutue interro de maths qui m'attendait lundi..mes pensées furent interrompues par une sorte de grognement et un poids lourd et presque mort qui s'abbattue sur mon corps.
CE corps bacula sur le coté et j'entendis une voix qui me dit -"ALors?"
Le bandeau toujours sur les yeux je demeurai perplexe. je m'assis, enleva ce fameux bandeau, regarda mon pseudo prince charmant
-" Et c'est tout? C'est fini? Bah zut alors! si j'avais su je me serai pas fait tant d'illusions et serai passé a la casserole avant... j'aurai deja ete élue reine des doudou l'année dernière a la place de cette pouf de Christine!" ( ;p )

Je me releva, rabattis ma robe de soirée sur mes jambes, pris une cigarette et l'alluma " je compte sur ton vote, n'oublie pas"

Je sortis de la cabane, vit le gardien qui m'attendait, je le paya et lui dit " je reviens même heure demain, merci de tout préparer"
Je lui fit un clin d'œil et parti avec un grand sourire


J'allais le gagner ce foutu concours!!!!!!!

waow!!! de toutes les histoires c'est bien celle ci ma préférée.
Quelle imagination! ton histoire est magnifique keh on la croirait tout droit sortie d'un vrai livre!!!

Mdr Merci ... Je m'ennuiyé a vrai dire ... donc j'me suis amusé un peu

Chris, d'autre nouveaux mots stp xD ? j'sens que j'vais m'ennuyer pas mal ce week end puisque je suis certainement celibataire maintenant :'(

Combien de mot ? Tout et n'importe quoi ?