Le coin des poètes, que ce soit de votre composition ou pas

De toutes façon le vers sait...



Désolé.

Le voleur
M'a tout emporté, sauf
La lune qui était à ma fenêtre.
haïku de Ryokan

un autre haïku sur l'automne :

Feuilles

Les feuilles dorées
Déjà chutent sur nos pas,
Je te regarde…

Je sait pas si quelqu'un là déja mis mais ça montre bien les pourris sur terre

Si j'avais su
Ce que t'avais prévu
Je ne serai pas venue
Te rejoindre en pleine rue

J'avais 12 ans et j'étais bête
J'ai cru que tu étais différent des autres garçons
Que tu m'aimais peut-être
En fait, t'étais encore plus con

Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fous
Tu m'as embrassée dans le cou
Tu voulais qu'on marche un peu
Tu m'as pris la main, tu semblais si heureux

Tu m'as emmenée un peu à l'écart du monde,
Dans une petite ruelle toute sombre
Je m'en suis rendue compte trop tard
Mon rêve allait devenir un cauchemar

Tout à coup, tu n'étais plus le même
Tu m'as plaquée contre le mur, fini les 'je t'aime'
Tu m'as dit que t'avais envie de moi
Que je ne pouvais rien contre toi

Tu m'as tenue contre le mur et tu as serré,
Une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier
Je sentais ton souffle rauque dans ma nuque
Tandis que tu m'arrachais ma jupe

Je ne savais pas quoi faire
Ta main toujours sur ma bouche m'obligeait à me taire
J'essayais de m'échapper
Mais tu me tenais avec fermeté

Je sentais mes jambes fléchir
J'ai cru que j'allais mourir
Je te suppliais du regard
mais c'était sans espoir

Ma jupe tombée par terre
Ton jean déjà ouvert
J'étais épouvantée
Mais toi, tu riais

Tu t'es collé contre moi
Il n'y avait plus que ma culotte pour me séparer de toi
A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir
Pour ne plus entendre tes soupirs

J'ai ressenti une douleur atroce
Tu m'avais pénétrée avec force
Tes mains exploraient chaque parcelle de mon être
Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortait
Tu prenais ton pied, j'étais ton jouet

Quand ça ne t'a plus amusé
Tu m'as retournée
Et t'as recommencé
Par derrière, pour changer

J'ai eu encore plus mal
Je me sentais si sale
Tu m'avais souillée,
Ruiné ma vie à jamais

Quand t'as senti ton plaisir venir
Tu m'as agenouillée devant toi
T'as ouvert ma bouche, y enfonçant tes doigts
Et tu m'y as enfoncé ton dard, sans prévenir

J'avais envie de vomir
J'avais envie de mourir
T'as évacué ton sperme dans ma bouche
Tu m'as forcé à avaler toute la louche

Et puis t'es parti
En me laissant là
Seule, nue et meurtrie
Au plus profond de moi

Tu m'as juste fais jurer
De ne jamais en parler
Disant que t'étais sûr que j'avais aimé ça
Même si je ne l'avouais pas


Je t'aimais, tu sais
Et ma virginité,
Je te l'aurai donnée
Si t'avais pensé à me le demander
Avant de me violer !

C'est de toi?
T'es un peu instable psychologiquement, non?

Tu te sent bien ?

Attendez, faut que vous balance la suite avec les trafics d'organes

Alors fait le et ne fait pas c****

Tant pis, un autre registre:


"Je dis des choses tellement intelligentes que, le plus souvent, je comprend pas ce que je dis."
- Devise Shadok

Faux sa c'est moi !

Non

Si

Tu l'utilises peut-etre mais tu ne l'a pas inventé.

Si sans le vouloir ...

Celui qui l'a inventé l'a inventé avant ta naissance...

Genre ce texte est de toi, il a un peu passé sur toute la toile mais évidement c'est toi qui la inventé, mouahahahah je ris, ça fait au moins 5 ans qu'il existe ce texte, alors dis pas n'importe quoi, moi j'en ai fais un de texte, mais il est trop long et je sais que personne le lira donc, je le met pas

Moi je le lirais.

Vraiment ? vraiment ?

Evidemment puisque je le dis...

Ma grande, j'ai vécu une partie de ma vie dans l'ombre, mais je peux désormais t'en conter mes conclusions.
au début, tu marches, tu grandis, peut être trop au creux des doigts frêles de tes proches, ta vie se raconte comme les poèmes de Rimbaud,
petit a petit tu avances, tu fais des belles rencontres, et puis des mauvaises, comme partout, raconte leur ma chérie,
que la vie était belle,meme les polaroid brillaient au soleil, les enfants jouaient sur les places publiques souriant a n'importe qui.
Raconte leur ma grande, que cette vie vaut cher, et que ses dettes sont chères. il faut en payer le prix, la liberté est chère,
et n'aime pas ceux qui veulent la tenir aux creux de leurs mains, ne cherches pas a l'empoigner, saisis la délicatement et
manies la avec douceur et patience, meme les choses les plus belles et chères sont éphemères tu sais,
explique leur qu'elle fait saigner les coeurs des plus forts aussi, la vie m'a appris que personne n'était au dessus de tout le monde,
que le compte en banque soit rempli ou non, qu'elle n'avait pas de prix.
penses aussi que l'opinion des autres n'est pas le tien, garde le tien bien au fond de ton coeur,
et n'oublies jamais que les mots qui sortent de ta bouche t'appartiennent, sois en fière.
n'aies pas de regrets, ils te boufferont, comme tout ceux qui rêvaient de gloire et de paillettes qui sont tombés dans la mélancolie et l'ivresse.
acceptes l'instant présent et ne recules pas. Ma grande, tu peux faire tellement de choses sur cette terre, penses y,
regardes au fond de tes yeux, tu y verras toujours une lueur d'espoir, meme si tout te parait noir autour, et tu sauras que je suis là,
cachée dans un petit coin de ton coeur, tu penseras a moi peut être, et tu verras mon sourire.
tu apprendras aussi que tu ne dois jamais laisser les autres penser et décider pour toi, j'ai été trop deçue par les gens qui se disent proches,
fais attention aussi a regarder le temps qui passe, il passe très vite.
On perd parfois les gens qu'on aime trop vite, la vie ne tient qu'a un mot, un instant, un rire, un éclat de voix.
Ne perd jamais espoir, comme tout ces laches qui ne prendront meme pas la peine de lire ce texte et qui s'arreteront à la deux ou troisième phrase,
sous prétexte qu'il n'aiment pas lire.
Prends le goût de lire, le goût de la vie, le goût des choses simples.
apprends aussi a aimer, c'est essentiel dans la vie, mais attention, l'amour n'est pas gratuit, il y a beaucoup de conditions,
et les gens ont peur d'aimer et de l'être aussi.
J'ai pu acquerir tout ces savoirs, en ne menant qu'une seule vie, tu en acquieras d'autres ma grande, mais tu as tout ton temps.
Tout ton temps.


Je l'aime particulièrement ce texte.

Quand tu as dis qu'il était long je m'attendait à un truc beaucoup plus long que ça lol.
En fait ça se lit vite

C'est un texte tres sympa, relativement bien niais quand meme si tu veux mon avis

merci soeurette, Bah écoute, niais, c'est ton avis.

Oui, j'ai dis que s'était seulement mon avis ca a beau etre niais j'aime bien quand meme

merci, je m'y suis mise vraiment a fond ce jour la, motivée motivée

Meme si c'est niais ce n'est pas naze, au contraire